sexta-feira, 27 de maio de 2011

ROYAUME-UNI ET LA PEINE DE MORT

Le scribe Valdemir Mota de Menezes lire ce topic Wikipedia en français sur la peine de mort et continue de défendre la thèse selon laquelle la peine de mort est la meilleure punition pour les crimes barbares.

Textes d'Apocalypse 19, parlant d'un gouvernement mondial dans le futur royaume du Christ:

11 et je vis le ciel ouvert, et voici un cheval blanc, et celui qui était assis sur lui s'appelle Fidèle et Véritable, et les juges et fait la guerre avec justice.



15 De sa bouche sort une épée acérée pour en frapper les nations, et il les paîtra avec une verge de fer: et lui-même la bande de roulement de la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout-puissant.



21 Et les autres furent tués par l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval, et tous les oiseaux sont gorgés de leur chair.















Le Royaume-Uni a également développé depuis 1983 la possibilité pour le juge d'imposer un « whole life tariff », car il s'agit sûrement du pays d'Europe occidentale où l'on trouve le plus fort soutien à un hypothétique rétablissement de la peine de mort (en 2009, un sondage donnait 70% dans les cas de meurtres d'enfant). Quelques autres pays européens tels que la Hongrie, l'Estonie et la Pologne ont également adopté une peine de prison à perpétuité réelle ou avec une période de sûreté de durée équivalente, comme 50 ans. En France, le ministre de la justice Robert Badinter se refusa en 1981 à donner « une quelconque peine de remplacement à la peine de mort ; la peine de mort constituant un supplice, on ne remplace pas un supplice par un autre. ». Selon lui, la période de sûreté de 18 ans que prévoyait le droit de l'époque était suffisante pour remplacer la peine de mort.

Les dirigeants de droite ne l'entendirent pas de cette oreille et portèrent la durée maximale de la période de sûreté à 30 ans en 1986. Lors de l'instauration d'un nouveau code pénal en 1992, la gauche ramena la période de sûreté à 22 ans, sauf pour les meurtres d'enfants doublés de viol ou de torture, pour contenter l'opinion. En 1994, sous le gouvernement Balladur, Pierre Méhaignerie permit de surcroit, suite au meurtre de Karine (8 ans) par le récidiviste Patrick Tissier, la perpétuité incompressible en France pour ces cas d'infanticides. Celle-ci reste révocable au bout de trente ans et n'exclut pas la possibilité d'une libération pour cause de santé à tout moment. Depuis son instauration, seules deux personnes, sexagénaires, y ont été condamnés (Pierre Bodein et Michel Fourniret).

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