This blog has been published, aiming to clarify the political leaders and society that the death penalty is barbaric criminals for God's will and the desire of the people in seeking justice on earth. (Scribe Valdemir Mota de Menezes)
segunda-feira, 16 de maio de 2011
MALADIE MENTALE ET RETARD MENTAL
Maladie mentale et retard mental
Il convient de distinguer la maladie mentale du retard mental. Une maladie mentale est une affection qui perturbe la pensée, les sentiments ou le comportement d'une personne de façon suffisamment forte pour rendre son intégration sociale problématique (désordre bipolaire, schizophrénie...). Le retard mental, est une déficience, à divers degrés, de l’intellect, des facultés mentales, de la perception et du comportement[94].
Aux États-Unis, bien que la cour suprême (et les lois de nombreux États) ait considéré que le retard mental comme la maladie mentale était une cause obligatoire de non-exécution, ce sont des tribunaux inférieurs qui sont tenus d'examiner le respect de cette jurisprudence au cas par cas. Or le retard mental est une notion subjective, il peut se mesurer au quotient intellectuel (une limite serait de 70 de QI) ou à la capacité de l'accusé à accéder à un emploi (même s'il est en dessous de cette limite).
De ce fait, les organisations de défense des droits de l'homme affirment que les exécutions de personnes retardées continuent aux États-Unis. Dans les autres pays, les normes légales et constitutionnelles en la matière sont quasi-inexistantes, le statut des affections mentales est donc réduit à celui de circonstance atténuante à prendre en compte par les tribunaux et les dirigeants. Les autorités étaient particulièrement attentives à cette question au Royaume-Uni lorsque la peine de mort y existait, chaque condamné à mort étant examiné par un panel de trois psychiatres avant son exécution potentielle.
C'est ainsi que John Straffen, ayant tué une jeune femme alors qu'il était déjà enfermé dans un hôpital psychiatrique suite au meurtre de deux fillettes, fut gracié en 1952. L'année suivante, Ruth Ellis qui avait assassiné son petit ami quelques jours après une violente dispute, fut pendue : de son propre aveu et de l'avis des trois experts, elle avait parfaitement conscience de ce qu'elle faisait.
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