terça-feira, 24 de maio de 2011

RÉHABILITATION DES CRIMINELS

Le scribe Valdemir Mota de Menezes lire ce topic Wikipedia en français sur la peine de mort et continue de défendre la thèse selon laquelle la peine de mort est la meilleure punition pour les crimes barbares.

Luc 23:39 L'un des malfaiteurs crucifiés pestait contre lui, en disant, tu es le Christ? Sauve-nous et toi-même.

Luc 23:40 y répondre, cependant, l'autre le reprenait, disant: «Ne crains-tu pas Dieu, sont sous la même phrase?

Luc 23:41 Et nous, c'est justice, car nous recevons ce qu'ont mérité nos crimes: mais cet homme n'a pas fait mal.

Luc 23:42 Et il dit: Jésus, souviens de moi quand tu viendras dans ton règne.

Luc 23:43 Jésus répondit: En vérité je vous le dis aujourd'hui, sera avec moi dans le paradis.





Réinsertion ou réhabilitation potentielle des criminels


Un argument philosophique très important pour les abolitionnistes (en particulier les abolitionnistes européennes) est le fait que la plupart des condamnés à perpétuité ne récidivent pas une fois libéré et retrouvent une vie normale. Philippe Maurice a été condamné à mort en 1980 pour le meurtre d'un policier et de deux agents de sécurité. En mai 1981, sa condamnation à mort fut commuée en réclusion criminelle à perpétuité par le président François Mitterrand. Après avoir passé des examens en prison, il est aujourd'hui libre est reconnu comme un grand historien médiéviste. Si son recours en grâce avait été examiné quelques mois plus tôt par Valéry Giscard d'Estaing, Maurice aurait eu de bonnes chances d'être guillotiné. Même dans les pays où la perpétuité réelle s'applique, les opposants à la peine de mort peuvent citer des cas de réhabilitation morale, comme Stanley Tookie Williams qui écrivit des livres contre la non-violence dans le couloir de la mort, et fut finalement exécuté un quart de siècle après sa condamnation à mort pour le meurtre de quatre personnes. La peine de mort cause aussi beaucoup de souffrance à la famille innocente du condamné.


Les partisans de la peine de mort invoquent eux les criminels ayant récidivé. 8 % des condamnés à mort américains avait déjà été condamné pour meurtre avant celui qui a entrainé leur condamnation à mort, et auraient déjà perdu leur droit à une « seconde chance ». Juste après Stanley Tookie Williams, l'état de Californie exécuta Clarence Ray Allen. L'Union européenne s'était émue de cette exécution car Allen avait atteint l'âge de 76 ans le jour de son exécution. Il avait à l'origine était condamné à la perpétuité réelle pour le meurtre d'un de ses complices de cambriolage, puis une fois incarcéré il fit assassiner trois personnes qui avait témoigné contre lui lors du procès.

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