quarta-feira, 16 de junho de 2010

MOUVEMENT DE ABOLITIONNISTE

LE TEXT CE-DESSOUS JE PRENDREZ DANS LA WIKIPÉDIA:


Application de la peine de mort dans le monde.
Selon certaines sources, le mouvement abolitionniste a été créé en 1757 à Paris, suite à la cruauté de la torture que subit Robert François Damiens lors de son exécution pour l'agression contre Louis XV[21].

Mais la véritable naissance du mouvement abolitionniste coïncide avec la publication de l'œuvre de Cesare Beccaria qui, dans Des délits et des peines (1764), tend à contester l'efficacité de la peine de mort. Suivant ses conseils, le grand-duc Pierre-Léopold de Toscane (futur empereur germanique sous le nom de Léopold II) abolit la peine de mort en Toscane, en 1786, une première.

Beccaria n'est pas seul mais il est le premier à exprimer clairement cette opinion. Voltaire par exemple, le soutient mais les gouvernements sont longs à convaincre, ce qui fait dire à André Dumas et Michel Taube que « la peine de mort est une loi commune jusqu'au XIXe siècle ».


Avant même l'expansion de l'abolition réelle, « on assiste à une progressive disparition de la sanction capitale succédant à une désuétude pratique de son application. Les crimes susceptibles d'entraîner la peine de mort constituent une liste de plus en plus restreinte »[. En 1848, la publication du livre de Victor Hugo, Le Dernier Jour d'un condamné relance le débat. L'abolition de la peine de mort est débattue puis rejetée par les parlementaires français qui discutent régulièrement de la question depuis 1791 mais ne mettent jamais l'abolition en pratique.



Le Venezuela l'abolit pour tous les crimes en 1863, avec le décret de Garanties et l'inscrit dans la Constitution de 1864. La République de Saint-Marin abolit la peine de mort pour tous les crimes en 1865, après l'avoir abolie pour les crimes de droit commun en 1843. Au Royaume du Portugal, la peine de mort fut abolie en 1867 pour les droits communs et la dernière exécution date de 1849. Le Tibet du 13e dalaï lama abolit la peine de mort en 1898. En 1948, l'article 3 de la déclaration universelle des droits de l'homme (ONU) énonce que tout individu a droit à la vie, notion qui peut être interprétée comme interdisant la peine de mort.


Aux États-Unis, un moratoire sur les exécutions a débuté en 1967 puis s'est terminé en 1977, année où Gary Gilmore fut fusillé en Utah. Au Canada, la peine de mort est abolie officiellement depuis le 16 juillet 1976 pour tous les crimes, sauf certains commis par des militaires. L'abolition totale devint effective en 1998.


Enfin, la Cour suprême a statué le 15 février 2001 qu'aucun accusé ne saurait être extradé à l'étranger sans que le Gouvernement n'obtienne des garanties que la peine de mort ne serait ni requise ni appliquée si cet accusé était extradé. En France, le vote de l'abolition date du 18 septembre 1981. La loi d'abolition a été promulguée le 9 octobre 1981, sous la présidence de François Mitterrand. Depuis le 19 février 2007, l'abolition de la peine de mort est inscrite dans la Constitution.


Avec l'abolition de la peine de mort, certaines méthodes d'exécution disparaissent complètement de la surface de la terre. En 1974 en Espagne, Salvador Puig i Antich est la dernière personne exécutée par strangulation, à l'aide d'un garrot («garrote vil» en Espagnol). En 1977, Hamida Djandoubi est la dernière personne décapitée à l'aide d'une guillotine.


En 1983, le protocole numéro 6 de la Convention européenne des droits de l'homme interdit la peine de mort sauf en temps de guerre. Ce protocole a été signé par tous les membres du Conseil de l'Europe, sauf la Russie. En 2002, le protocole numéro 13 l'interdit en toutes circonstances, y compris en temps de guerre, la majorité des membres l'a actuellement signé. En 1989, le second protocole additionne du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (ONU) abolit la peine de mort dans les États qui y adhèrent.


Le pacte international dans son article 6 limitait déjà le recours à la peine de mort en 1966. Le second protocole permet l'application de la peine de mort en temps de guerre mais il est le premier texte non régional à viser une abolition (même limitée) mais explicite.


Depuis 2003, une journée mondiale contre la peine de mort, le 10 octobre, a été instituée par la coalition mondiale contre la peine de mort et elle est officiellement soutenue par le Conseil de l'Europe et l'Union européenne.
En 2007, lors sa première intervention officielle, Ban Ki-moon n’avait pas condamné l’exécution de Saddam Hussein.


Il estimait alors que la question de la peine capitale restait du ressort de chacun des États membres de l’ONU. Des propos qui avaient provoqué un début de polémique, les Nations Unies ayant toujours œuvré pour l’abolition de la peine de mort. La porte-parole du nouveau secrétaire général des Nations Unies a précisé le lendemain qu’il était bien en faveur de l’abolition de la peine capitale.


À ce titre, l’Italie est à l’origine de la première déclaration appelant à l’abolition totale de la peine de mort et prévoyant un moratoire dans les pays où elle existe. En 2007 et 2008, cette résolution a été votée par l'assemblée générale des Nations unies, les mouvements abolitionnistes travaillant pour augmenter le nombre de votes en sa faveur. Le chef du gouvernement italien Romano Prodi avait à l'époque affiché une position sans ambigüité. Selon lui « la peine de mort doit être abolie dans tous les pays et la politique italienne va dans ce sens ». Symbole de cette lutte… le Colisée. Ce monument mythique de Rome est illuminé la nuit à chaque fois qu’un pays a renoncé à la peine de mort ou décidé un moratoire sur les exécutions.


MON COMMENTAIRE : C´EST UNE « PEINE », BEAUCOUP DE PAYS LAISSEZ DE PRATIQUE LA PEINE DE MORT POUR JETÉ DEHORS LES HOMMES MAUVAISES. LA DOCTRINE ABOLICIONNISTE EST FONDAMENTÉ DANS LA CRENCE QUE L´HOMME EST BON, AU CONTRAIRE DE LA BIBLE QUE EST FAVORABLE A PEINE DE MORT, PAR CAUSE QUE L´HOMME EST MAL DEPUIS SONT NAISSANCE.

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